dimanche 18 juillet 2010

Quand on ferme sa gueule

Les mauvaises choses finissent toujours par arriver… Dieu sait comment. Moi, aussi. On ne change pas le monde.

Un jour, je me suis dit : deviens journaliste. Fais ton métier. Dénonce, montre l’horreur aux yeux du monde.

Une fois, j’ai même réussi à terrasser une bête fasciste, mais pas l’horreur économique.

L’économie mondialisée écrase tout. Le racisme et la ségrégation s’installent, prospèrent toujours.

Alors j’ai décidé de descendre dans l’arène pour combattre les monstres hideux.

Moi, j’ai choisi mon camp. Mais ça n'est pas un parti. J'ai choisi de l'ouvrir.

Car les mauvaises choses finissent toujours par arriver quand on ferme sa gueule.

http://tux-pla.net/2d0

Twitstory du 18 juillet 2010 entre 22 h 45 et 23 heures sur la TL de @christreporter

1 commentaire:

  1. Plus jeune, j'étais très politisée, pleine d'idéaux, j'ai mm failli devenir journaliste moi aussi.
    Finalement, rédiger et éditer les gazettes à l'université m'auront suffi, ma vie a pris un autre tournant.
    Il y a beaucoup de journalistes que l'on devrait admirer pour leur courage et leur volonté de faire éclater la vérité et de nous informer autant q'ils le peuvent.
    Comme partout, il y en a des bons et des moins bons.
    Pas un métier facile, c'est clair, je n'aurais jamais tenu,j'en suis sûre.

    http://uneanglaiseaparis.wordpress.com/

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